Le Bullerengue est une danse d'origine africaine. Les esclaves dansaient en cachette de leur maîtres, car il leur etait interdit de faire perdurer leur culture d'origine.
Quand la domination espagnole s'acheva, beaucoup de personnes ont emigré dans differents lieux du pays c'est ainsi que le bullerengue s'est fait connaître dans differents regions du pays, spécifiquement dans la côte atlantique .
Le principal sujet de cette danse, c'est l'initiation de jeunes noires à la puberté . Cette danse est exclusivement féminine; l'homme y participe seulement pour jouer des percussions.
Le Mapalé est une danse typique de Colombie. Elle fut amenée il y a plus de 400 ans à Carthagène des Indes, sur la côte atlantique, par les esclaves de Guinée.
Elle se danse en couple, avec des mouvements frénétiques et érotiques avec une énergie extraordinaire, débordante et représente d’une certaine manière une pulsion interne vers l’extérieur, vers le changement, comme un irrépressible désir d’expression, de sentiments, de sensations, d’expériences, et de plein d’autres choses . La danse est faite de sauts, de chutes, de poursuites et de confrontations entre la femme et l'homme.
Mapalé est aussi le nom d'un poisson, et la légende raconte que les pêcheurs dansaient pour fêter une pêche abondante, et qu'avec leur mouvements ils représentaient les mouvements du poisson hors de l'eau.
Le nom est dérivé de "cumbiamba", terme qui lié au mot antillais "cumbancha", qui à Cuba signifie une foire ou une fête. Ces deux termes dérivent d’un mot plus ancien "cumbe", qui est une danse noire de la Guinée orientale espagnole ou de "kumba", qui signifie faire du bruit.
Cette danse, dont les mélodies et la chorégraphie sont caractéristiques, se trouve dans tout le littoral atlantique de la Colombie. Elle est d’origine africaine et a été transformée au cours du temps en une expression représentative du mélange de la culture noire africaine et indigène de la Colombie. Comme un témoignage de ces deux cultures, le rythme des tambours africains, la mélodie des gaitas (sorte de musette) et des flûtes des indigènes colombiens ont été préservés dans cette danse. La contribution de la culture espagnole se matérialise par les vêtements et bien sûr par la signification sociale de cette danse.
L’homme dirige la danse. Lorsque l’homme « zapatea » (Claque des pieds) il sent comme s’il était sur son cheval, chevauchant sur les plaines. La femme est le soutien de l’homme. L’homme a besoin de la femme car elle est leur point d’appui afin que l’homme puisse surmonter toutes les difficultés de la nature.
exactement de la culture des esclaves qui ont été amenés sur la côte pacifique. Cette danse ce n'est pas proprement une danse de couple parce que le couple de danseurs ne se prend jamais par la main.
femmes qui acompagnaient les troupes pour les encourager.
Dans lequel sont décrits les soins maternels de la mère indigène qui porte parfois un nouveau-né dans ses bras au fils pour le présenter devant des amis et des voisins. Les mouvements présentent une emphase rituelle clairement descriptif, exécutés avec les pas traditionnels indigènes.
